Des brèves

 

 Brèves (Tirées du Monde libertaire n° 1248 du 7 au 13 juin 2001)

Italie : En décembre 2000, une italienne, catholique très pratiquante, est tombée enceinte d'un troisième enfant, peu de temps après avoir effectué un pèlerinage au sanctuaire du fameux padre Pio. Au quatrième mois de la grossesses une échographie a révélé que le fœtus n'avait pas de cerveau. Tant la mère que le père, au nom de leurs convictions religieuses, ont alors refusé l'I.V.G. thérapeutique proposée. Comme prévu, l'"être" (on ne saurait dire l'enfant) est mort même pas deux heures à sa naissance et, le curé n'ayant pu arriver à temps, c'est un médecin qui a procédé au baptême ! Selon le curé de la paroisse les parents sont "des croyants exemplaires pour avoir fait don d'un ange (sic) et d'un nouveau messager à la communauté chrétienne".

(Auteur de l'article : Régis Bousières du Groupe Kronstadt de Lyon)

Commentaires personnels : Nous savons désormais, de source autorisée, que les anges n'ont pas de cerveau pas plus que les "messagers" (messies ?) d'ailleurs. Rien d'étonnant : pour croire aux sornettes religieuses, il est préférable de na pas être doté de cet organe de la pensée et de la raison.

*****

Espagne : En mars 2001, monseigneur Juan Antonio Reig, président de la sous-commission épiscopale espagnole de la Famille et de la Vie, a déclaré que "les religieuses catholiques sont autorisées à prendre la pilule lorsqu'elles se sentent en danger de viol, notamment dans le Tiers-Monde". En effet, toujours selon cette "éminence" : "Même si l'acte contraceptif a lieu, il ne s'agit pas de contraception proprement dite (sic) mais plutôt d'autodéfense (sic)".

(Idem)

Commentaires personnels :

 *****

Une secte catholique née en Suisse et France qui s'étend en Europe de l'Est

Marie-Dominique PHILIPPE (c'est un homme malgré le nom !) et sept de ses étudiants ont fondé, en 1975, à Fribourg, ce qui a été plus tard appelé la Communauté Saint-Jean et qui, actuellement, regroupe plus de 500 moines dans une vingtaine de communautés mixtes (et oui !). En 1982, cette communauté a institué des ordres féminins.

Marie-Dominique PHILIPPE est le frère de Thomas PHILIPPE, cofondateur, avec Jean VANIER, des Communautés de l'Arche, devenues par la suite Communautés "Foi et Lumière", qui ont la particularité, outre leur œcuménisme, d'être destinée aux handicapés.

Les trois personnes précitées sont étroitement liées à Marthe ROBIN qui a fondé, avec M. FINET, des foyers de charité.

Tous ces agités du bocal ont ainsi été les précurseurs français des "charismatiques" qui ont relooké new-age le mysticisme chrétien et, surtout, catholique.

La Communauté Saint-Jean est fortement présente dans les écoles militaires (ses membres y sont connus sous le nom de "petits gris" à cause de leur robe de bure)et ses membres ne cachent pas leurs convictions politiques d'extrême droite. En 1992, elle a pris le contrôle de l'aumônerie du collège Stanislas de Paris (excusez du peu !) qui, chaque année, grossit les rangs de l'élite catholique.

Or, en 1996, un nouveau Directeur, qualifiable de "gauche" arrive dans ce collège et a immédiatement pour projet d'y introduire la mixité. La réaction des "petits gris" et de l'Association des Parents de l'Enseignement "Libre" ont aussitôt réagi violemment puisqu'ils ont obtenu le renvoi du Directeur ainsi que celui des enseignants qui avaient aidé certains parents à monter une association de parents d'élèves dissidente (l'adhésion à l'A.P.E.L. est obligatoire dans ce collège !).

En suivant, de 1997 à janvier 2001, les "petits gris" ont obtenu que ne pouvaient être admis dans cet établissement que les élèves qu'ils "parrainaient" après enquête minutieuse effectuée dans leur environnement familial et social ainsi que la "proscription" de certains auteurs comme Nietzsche, Marx, Zola… Toutefois, devant tant d'excès, ils ont été à leur tour renvoyés de cet établissement, début février dernier, comme ils l'avaient déjà été du collège Passy-Buzenvald de Rueil-Malmaison.

La Communauté Saint Jean accueille les Petites Sœurs de la Compassion, d'Israël et de Saint Jean, fondée en 1982 à Rimont près d'Autun. Le fondateur de cette communauté est Tünde SZENTES, alias mère Myriam et dont… Marie-Dominique PHILIPPE a été le professeur de philosophie à Fribourg.

Dés 1986, plusieurs parents ont porté plainte contre les sévices, la séquestration et les pressions psychologiques exercées par cette Communauté et, plus particulièrement, par "mère Myriam" . Sur la pression personnelle de DECOURTRAY, alors archevêque de Lyon, lui-même soumis à celle de "mère Myriam" qui avait alors enclenché une grève de la faim, les plaintes ont été (miraculeusement !!!) retirée et l'affaire étouffée.

Désormais, la Communauté Saint Jean recrute et s'implante en Europe orientale (Hongrie, Roumanie, Slovaquie…). Le "recrutement" se fait sous la forme d'une offre de "retraite méditative" (non nécessairement affichée religieuse) faite à des personnes en mal d'être mais, de plus en plus souvent, à des enfants, les parents se faisant dire que cette "retraite" les "soulagera" des problèmes psychologiques, des troubles comportementaux, des conduites adductives, des difficultés scolaires… qu'ils rencontrent. Problème : cette "retraite" est un départ définitif puisque les intéressés ne sont plus revus ! C'est pourquoi, plusieurs familles de ces pays se sont rapprochées de l'Association Vie religieuse et Famille (A.V.R.E.F.), fondée en 1998, pour récupérer leurs proches et dénoncer et combattre ces pratiques sectaires.

La hiérarchie catholique a dû admettre, mais très timidement et du bout des lèvres, que cette Communauté était traversée par des dérives sectaires (non pas du fait de la Communauté elle-même mais de certaines "personnes" qui sont venues s'y "réfugier" !). Elle a donc diligentée une… "enquête" qui doit être menée sur la pointe des pieds car, à ce jour, elle n'a donné lieu à aucun rapport et, a fortiori, à aucune "sanction".Il y a fort à parier qu'un autre DECOUTRAY - voire le gardien des caves du Vatican lui-même - ne manquera pas de surgir pour… enterrer cette affaire (comme tan d'autres) !

(Auteur de l'article : Nicolas - Liaison Melun)

P.S. Bibliographie donnée en note de cet article :


Infos :

1 - Pour l'année 1997 (derniers chiffres connus), le Bureau International du Travail a recensé dans le monde 250 millions d'enfants travailleurs âgés de 5 à 14 ans, plus de la moitié d'entre eux travaillant à temps plein et 10% étant soumis à un véritable esclavage (Source Amnesty).

2 - Le 21 mai 2001, la Police de Shaerbeek (Belgique) a fait irruption dans une salle de classe pour… y interpeller une enfant de 11 ans, puis la conduire au centre de rétention voisin où y avaient été conduits ses parents. Ce "regroupement familial" effectué, la Police a alors procédé séance tenante à une expulsion vers l'Albanie que cette famille avait pourtant fui pour des raisons autant politiques qu'économiques !

3 - Selon le Secrétariat d'État aux Droits des Femmes, en France, en 2000, il y a eu officiellement 48 000 viols de femmes !

4 - "Les gains des trois derniers Téléthons représentent à peine le coût d'un avion de combat de type "Rafale" (Source : Le groupe libertaire de Tours in Le monde libertaire n° 1247)


Brève :

Lors de l'un de ses meetings électoraux tenues pour les élections municipales à Paris, Philippe SEGUIN a dit, en substance, que "la gauche avait appris à aimer à se rouler dans la frange du capitalisme libertaire" !

On est heureux d'apprendre que ce n'est plus dans la fange que l'on se roule et que, de (néo)libéral, le capitalisme est devenu libertaire !

Durant cette même campagne, SEGUIN avait accusé la Presse de s'être mithridatisée aux scandales au point de ne plus les dénoncer ou, du moins, de ne pas dénoncer ce qui lui fait scandale. De son côté, SEGUIN s'est sans doute mithridatisé aux... fautes de français !


Brève : Une nouvelle perle du super cow-boy Bush !

A la suite du récent report de l'exécution de l'auteur de l'attentat d'Oklahoma-City (report motivé par le fait que le F.B.I. avait "omis" de communiquer à la défense quelques milliers de pièces du dossier !), un journaliste a demandé à Bush s'il était toujours autant partisan de la peine de mort.

Sa réponse (en gros) a été : "Bien sûr ! à partir du moment où notre système judiciaire fonctionne convenablement".

Question : et quand il ne fonctionne pas convenablement et que l'on a exécuté un innocent, comment il fait Bush pour corriger le "dysfonctionnement" ?

Mais il est vrai que, dans son esprit, un système judiciaire qui fonctionne convenablement, cela doit être... des chaises électriques, des chambres à gaz, des gibets... en parfait état de fonctionnement et peu importe pour que l'exécuté soit coupable ou... innocent !


Une petite expérience (mécréante) :

Il est inutile de rappeler les nombreuses démonstrations scientifiques du morceau de tissu de Turin, plus connu sous le nom de "suaire de Turin".

En voici une toute simple vérifiable par… un enfant :

Qu'observerez-vous alors ? l'empreinte d'une image ayant la forme d'un ballon de rugby placé à l'horizontal, l'écart entre les deux oreilles étant presque égale au double de la distance entre le front et le menton.

Or, l'image du suaire a certes la forme d'un ballon de rugby mais placé… verticalement ! Seul un support rigide, de type plaque photographique, aurait pu reproduire à l'identique, dans les proportions d'origine, et donc verticalement et non horizontalement, l'image (le "cliché") d'un visage.

Dans ces conditions, le mystère (le "miracle" ?) n'est pas le suaire dans son état actuel mais la transformation d'un support rigide en… du tissu !


Brève :

Gépétou va livrer à l'adoration du troupeau la dépouille embaumée de son prédécesseur Jean (Bon), vingt-troisième de la série.

Il me semblait que les disciples de l'acrobate à la croix étaient constamment rappelés à l'humilité de leur origine (la poussière) et de la destination finale de leur corps (re- la poussière) en opposition avec l'incommensurabilité de leur idole et que, de ce fait, il était contraire au dogme de l'ordre sectaire mais aussi au précepte divin, tel que révélé dans l'une de ses vérités paraboliques révélées (au fait ce dieu serait-il un... satellite à moins que cela ne soit un... aspirateur... à poussière?), de conférer à une dépouille corporelle cette immortalité de forme que procure un embaumement ?

Mais, il est vrai que ce qui est interdit au troupeau ne l'est peut-être pas au berger et à ses chiens (de garde) !

En fait, la théâtralité du show médiatique auquel Gépétou va se livrer en la circonstance n'est peut-être que la première scène d'une autre pièce : celle de son putsch déicide par lequel, une fois terrestrement mort, il sera procédé non pas à sa béatification mais à sa... déification !

Alors, pour toutes celles et ceux qui se plaisent à se livrer à des paris pascaliens (que ce mécréant de Prévert qualifiait de... stupides), il y a une chose urgente à faire : courir baiser la mule de Gépétou (ou tout autre élément vestimentaire ou corporel) afin de se faire inscrire dans ses petits papiers et, ainsi, la déification opérée en exécution d'une bulle testimoniale, de pouvoir bénéficier des avantages de leur nouveau contrat d'allégeance.

Le mécréant du dimanche (jour qui, comme chacun le sait, est celui du... saigneur !).


Info :

Une nouvelle revue consacrée à la lutte contre l'ordre moral, les religions, les sectes, les phénomènes de croyance vient de naître : L'Émancipé.

Au sommaire du numéro 1 : le voyage du pape en Syrie, le fanatisme religieux en Israël, l'IVG et l'Église, des brèves du monde entier…

Prix du numéro, port compris : 25 F.

Commande à envoyer à : La Plume Noire, 19 Rue Pierre Blanc, 69001 Lyon. Chèque à l'ordre de Kronstadt.


Infos :

1) Même si elle est ancienne et que l'"affaire du foulard" a depuis été réglée, j'ai trouvé une décision intéressante d'un Tribunal Administratif, en l'occurrence celui de Clermont-ferrand, en date du 6 avril 1995 :

"Ce vêtement [le foulard] présente, en outre, en tous cas aujourd'hui en France [le caractère] d'un signe d'identification marquant l'appartenance à une obédience religieuse extrémiste, […] [qui] refuse aux personnes de sexe féminin le bénéfice de l'égalité que leur reconnaissent les institutions démocratiques de la France, cherche à faire obstacle à l'intégration des Français et étrangers de confession musulmane à la culture française en s'opposant au respect de la laïcité".

Hélas… ce point de vue, fondé en droit au regard de la Constitution et de la D.U.D.H., a été désavoué par le Conseil d'État au motif de cette même Constitution et de cette même D.U.D.H.

Suggestion :

Jusqu'à ce jour, on s'est toujours efforcé de lutter, au sein de l'École en particulier,  contre le port de signes ostentatoires d'une appartenance religieuse en se fondant sur le principe constitutionnel de laïcité ainsi que sur la loi de séparation de l'État et des cultes. C'est, par ce biais, en quelque sorte, opposer le "public" au "privé" et s'exposer aux foudres de guerre des tenants du "privé" – et, au sein de la sphère privée, en particulier, de la croyance et de la pratique religieuses – qui ne peuvent manquer de retourner les moyens de l'attaque pour obtenir gain de cause dès lors que la laïcité établit une séparation stricte entre le "public" et le "privé" et que la Constitution et la D.U.D.H. garantissent une liberté absolue de conscience, d'expression, de culte…

Mais on peut lutter – ou, du moins, tenter de lutter -, toujours dans le cadre juridique, contre le port de ces signes ostentatoires dans la sphère publique en se mettant du point de vue non plus du public et du privé.

Ainsi, on peut considérer qu'un tel port prive un individu – une femme, mineure ou majeure – du plein exercice de ses droits universels d'être humain dés lors qu'il le "marque" , le "distingue", le "désigne"… des autres membres de la communauté nationale et qu'il l'expose à l'exclusion, à la ségrégation, à l'ostracisme… de la part de cette communauté. Certes, ce risque peut n'être que potentiel, mais n'est-ce pas au nom de la prévention de danger susceptible de peser sur un mineur que, par exemple, des actions, administratives ou judiciaires, sont engagées contre une famille, une secte… ?

Toujours du point de vue de l'individu, le port du voile ou du simple foulard introduit une discrimination entre les femmes et les hommes au désavantage des premières puisqu'il traduit un accès discriminatoire, à l'espace public, et que, de façon générale, il est le signe social d'une subordination des premières aux seconds. Or, aussi bien pour la D.U.D.H. que pour le droit français, toute discrimination à raison du sexe est illégale et interdite.

Pour certains, on ne peut s'opposer au port du voile quand celle qui le porte le fait volontairement, en toute conscience. Mais, les droits universels des humains sont inaliénables : un individu, même en pleine possession de toutes ses facultés intellectuelles, ne peut faire le libre choix de renoncer à ses droits et, notamment, d'aliéner sa liberté.

N.B. Il ne s'agit que de la suggestion d'une piste à creuse, l'idée générale étant que, partant du point de vue de l'individu, on pourrait démontrer que le port du voile ou du simple foulard est déterminé par le sexe de celui qui doit le porter, qu'il est imposé par des personnes de l'autre sexe et que, dans ces conditions, et sans faire référence à des convictions religieuses (avec ce que cela comporte comme risque de se faire opposer… la liberté de conscience et de pratique religieuses), on est bien dans une situation de discrimination fondée sur l'appartenance à un sexe, laquelle est interdite tant par le droit national que par la D.U.D.H et toute une autre série de textes internationaux.

2) Les discussions entre le Ministre des Cultes et les "représentants l'islam français" (il y aurait donc autant d'islam que d'États-Nations ?  quelle est la représentativité de ces représentants ? pourquoi prolonger ces discussions d'apartés entre le Ministre précité et tel Ministre algérien ou turc des Affaires religieuses ? …) avancent.

Ainsi, d'une "Déclaration d'intention relative aux droits et obligations des fidèles du culte musulman en France" on est passé à  des "Principes et fondements juridiques régissant les rapports publics et le culte musulman en France", autrement dit d'un rapport de l'État à des individus, citoyens nationaux ou non, à un rapport de l'État à un Culte établi et reconnu, à une communauté constituée à raison de ses croyances religieuses, bref à une "puissance publique" … et, ainsi, d'un rappel de la Loi fait tant à l'État qu'aux individus,  à une sorte de préambule bis de la Constitution ou même de "traité", de "concordat" conclu avec une puissance (publique) tiers.

On avance et, en fait, on… progresse  du point de vue des droits fondamentaux ; ainsi "le droit de toute personne à changer de religion ou de conviction" a été retiré de la dernière mouture du "texte" en voie de finalisation tant il est vrai que l'on ne saurait opposer un droit national à une puissance nationale étrangère et que la D.U.D.H. n'est pas applicable en terre d'Islam !!!  


En septembre 2000, l'Arabie Saoudite a adhéré à la Convention des Nations Unies sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes en formulant toutefois la réserve suivante : "En cas de contradiction entre une disposition quelconque de la Convention et les normes du droit musulman, le royaume n'est pas tenu d'appliquer la disposition contradictoire". A cette occasion, le Vice-ministre des Affaires Étrangères a déclaré que les droits humains étaient un objectif non négociable pour la réalisation duquel chacun doit œuvre.

Commentaire : D'un côté on déclare le caractère fondamental des Droits des Humains et, de l'autre, on les subordonne à la Loi divine. Dans ces conditions, et dans la mesure où droits humains et droits divins sont interprétés par les seuls hommes, il est évident que les femmes d'Arabie Saoudite ne sont pas prêtes de pouvoir bénéficier des Droits des humains qui relèvent d'une Loi humaine et non divine !… On connaissait Lawrence d'Arabie : il faut apprendre à connaître… Tartuffe d'Arabie ! Rappelons qu'en Arabie Saoudite, les femmes ne sont pas autorisées à conduire ou même seulement à prendre un taxi si elles ne sont pas accompagnées de leur mari, de leur père ou de tout autre tuteur masculin. Elles ne peuvent pas non plus solliciter le concours de la Police ou de la Justice en cas de mauvais traitement conjugal ou familial. Elles sont toujours soumises à une véritable assignation à résidence, familiale d'abord, conjugale ensuite… En matière de Justice, rappelons aussi qu'en 2000 les tribunaux saoudiens ont prononcé (au moins) trente-quatre condamnation à l'amputation dont sept croisées (main droite et pied gauche) et une d'un œil. Au cours de cette même année, 123 personnes au moins, dont trois femmes, ont été exécutées (71 au moins d'entre elles étaient des étrangers). Un égyptien a même été crucifié après avoir été décapité ! Assurément, les Droits des humains progressent en Arabie Saoudite puisque tous ces chiffres sont… en progression par rapport à 1999 !


Suite :

Pour revenir à la rubrique "Brèves et pensées" :

Pour revenir au Plan du site :

Pour revenir à la page d'accueil :