Les
poèmes et les humeurs de Gab
L'humanité
gangrener
Changer seul ne pourras
Seul l'anarchiste Armer
La remettra sur la bonne voie
Les beaux discourts enfarinés
Des pseudo philosophes et poètes révoltés
Trop heureux sur cette liste de pavoiser
N'y pourront rien changer
La liberté n'est pas à donner
Il nous faut la gagner
Par le sang et les pleurs
Passe le chemin de notre bonheur
Ni dieu ni maître
Gabriel
*****
C’est
sans rechigner
Que
je verrais publier
Dans
mon journal préférer
Mes
proses délurés
*****
C’est
fort peu de choses
Que
de vous dire ces vers
Même
si je m’expose
Aux
répressions policières
Incitation
a la lute armer
Contestation
d’un état policier
Rêve
d’un monde libérer
D’une
terre non polluer
Pour
que demain nos enfants enfin
Connaissent
un monde serein
Ou
tout les hommes enfin tous égaux
Réaliseront
nos idéaux
Alternative
partout sur terre
Pour
nos enfants et leurs frères
Libertaire
comme idéal
Pour
demain un monde qui gagne
La
liberté na pas de prix
Et
je suis prêt à payer
Et
si demain j’en perds la vie
Pourvu
que se soit en été
Et
sur ma tombe comme épitaphe
Vous
graverez en lettre grasse
En
disciple d’Épicure il vécut
Et
libre il mourut
Et
vive la poésie et nous bises
Gaby
*****
Ah être sois et
non soie
Quel chalenge que voila
Quand le peuple demande assimilation
Ne répondre que part innovations
Q'il est dur d'être sois
Quand tant voudrait qu'on soit eux
Même si je ne suis qua un doigt
De la liberté tant elle m'émeut
Jamais je ne co roberait a vos lois
Et c'est tant mieux
Gab's
*****
Un billet
d'humeur (parmi tant d'autres)
Parfois on penserait
quand même bien 5000 tant certains messages sont
lourds
A force de vouloir tenir un discourt politique
A force de vouloir blanchir l'infamie communiste
A force de vouloir donner une place a une spiritualité ignoble
A force de vouloir douter de ces frères
L'anarchie n'est plus sur cette liste qu'un mythe
Une utopie lointaine, un rêve perdu
Quand des anars appellent à voter, quand des anars oublie le massacre de
leurs frères en Espagne par les rouges, quand les anars parlent de dieu,
quand les anars se déchirent
Il n'y a plus d'anars !
Juste une bande de mecs révoltés qui se cherchent et qui ne sont pas
près de se trouver !
L'anarchie est un mode de vie, une pensée ouverte qui avant tout réclame
le respect, le respect de sois et le respect des autres
Alors quand vous me parler politique, cocos, religions, insultes
Je dis basta
J'en ai rien à foutre, ce n'est pas ça l'anarchie
C'est juste des prétextes à ne jamais tomber d'accord
Visant a nous éloigner de notre but !
De notre idéal, de la vérité
Une manipulation orchestrée
Visant a nous divisé, pour que jamais ensemble
Nous ne puissions nous organisé
Pour enfin accéder a la liberté
Depuis des années tant espère
Par tout ces gens aspirant a la liberté, à l'anarchie et à l'égalité
*****
Je
me suis lever se matin
Le
soleil brille sur mon jardin
Interpeller
par un bruit sourd
J’suis
sorti en courrant dans la cour
Panache
de fumée a l’horizon
La
ville est en feu mais pour quelle raison ?
Des
rues des jardins et des maisons
Un
grand bruit car c’est l’oraison
L’état
est mort
C’est
la révolution
L’état
est mort
Vive
la libération
Les
drapeaux noirs sortent de partout
Les
hommes en uniformes vont en prendre un coup
C’est
la fin des képis
C’est
la fin du kaki
Le
roi dans son avion est parti au Gabon
Emmenant
Paola et ces lardons
Les
ministres l’ont suivit car au son des klaxons
Partout
dans le peuple c’est la rébellion
L’état
est mort
C’est
la révolution
L’état
est mort
Vive
la libération
La
vieille espagnole n’a pas tenu le coup
Son
cœur sec c’est arrêter d’un seul coup
Pour
Philippe et Mathilde fini les coucou
Casser
vous les couronnés on a pas besoins d’vous
On
a pris les casernes, les banques et les églises
On
a pendu les bourgeois les curés et les collabos
Demain
en ces lieux se sera la fête
Et
le peuple en liesse ne payera plus d’impôts
06/10/02
L’état
est mort
C’est
la révolution
L’état
est mort
Vive
la libération
Mais
voila ma fille qui m’réveille en sursaut
Faut
t’y faire Gaby
L’anarchie
ce n’est pas pour demain
Mais
un beau jour de printemps
En
m’éveillant,
n’en
déplaise a freud
La
liberté aura enfin gagner !
Ils
sont la bien ranger
Abhorrant
fièrement leurs boucliers
Ils
sont des centaines et peut être des milliers
Flingue
en main et prêt à dégainer
Face
à eux une foule en colère
Qui
crie son indignation
Car
se sont bien nos frères
Qui
sont en prisons
Centre
fermer plus jamais
Donner
donner donner
Leurs
la liberté
Dans
nos rang des enfants, des vieillards des militants
On
se rassure en se disant qu’ils ne vont pas charger
Mais
déjà nous mettons nos enfants en sécurité
Car
en face la masse noire viens de s’ébranler
Planquer
derrière leurs auto-pompes ils nous ont arroser
Et
a cou d’lacrimo, ils nous ont fait pleurer
Ensuite
c’est le corps a corps mais on n’est pas armé
De
partout les coups pleuvent et pas moyen de riposter
Centre
fermer plus jamais
Donner
donner donner
Leurs
la liberté
C’est
la démocratie,on ne peut manifester
Faut
courir vite si tu veux pas être embarqué
Mais
un jour on reviendra nous aussi armer
On
se défendra et on finira par gagner
Tes
centre pourris on va les supprimer
Et
ton état nazi on va le rosser
Enfin
pour tous se sera la liberté
Fini,
bien fini le peuple opprimer
Centre
fermer plus jamais
Donner
donner donner
Leurs
la liberté
Ta
police ton armer elle va se ramasser
N’oublie
pas quand tu partiras de les emporter
Car
en Anarchie
Ta
force d’oppression est une hérésie
Et
toi qui aujourd’hui décide pour moi
Demain
à l’échafaud on te mènera
Curés
patrons ministres et roi
Nos
lames affûtées seront plus fortes que vos lois
Place
au règne de la liberté place a l’ANARCHIE
0610/02
*****
Quand
la nuit tombe
Et
que les bruits de bottes s’estompe
Dans
les deux camps on creuse les tombes
Ils
avaient cru pouvoir faire la révolution
Sans
avoir à entendre le bruit des canons
Mais
la liberté aura le goût du sang
Ils
ne sont pas près de nous la céder
Préfèrent
continuer à nous exploiter
On
m’avait beaucoup parlé des dictatures des états policiers
Mais
chaque état est une dictature
Avec
ses lois, avec son armé
Et
c’est pour cela que depuis des mois
Mes
camarades et mois nous avons pris les armes
Pour
ne plus que nos enfants
Sous
les coups des matraques
Ne
versent de chaudes larmes
Nous
avons sortis nos armes
En
pensent bien être du bon coté
Mais
quand l’infâme Albert fut décapité
La
populasse se mit à nous traquer
Ne
voyant pas notre combat pour leurs liberté
De
terrorismes nous fumet alors taxer
Ils
lâchèrent leurs armer, emprunt de loyauté
Pour
un état qui depuis toujours les exploites
Ils
ont troqué leur délivrance
Mais
nos frères vinrent du monde entier
Et
ici l’anarchie va triompher
Et
si sur ma tombe les passant doivent cracher
Qu’ils
se rappellent que je suis mort pour la liberté
Et
que sur le linceul noir que je porte dans le trou
Il
y a le sang verser de mes idéaux qui ne mourront jamais
Frataband
2002